À propos de Fenêtres intérieures…
« Ce nouveau disque propose huit morceaux composés entre 2009 et 2014. On va d’une rencontre avec le piano d’Horowitz à la mort d’un enfant, en passant par le Printemps érable. Et la voix (captée au vol, narrée, jouée) occupe beaucoup de place. De la fenêtre, la pièce d’ouverture, est aussi la plus intéressante de l’album. Elle est construite sur un texte d’Étienne Lalonde lu par deux comédiens bien connus, Pierre Lebeau et Céline Bonnier. Ici, les relations voix-son et trame narrative-ambiances sont parfaites… Bestiaire est l’autre moment fort; sans voix, sans texte, sans programme, ce morceau passe à travers plusieurs transformations qui impressionnent et font du sens. » […]
Par François Couture in Monsieur Délire (Québec), 1 décembre 2014